The 2017 Vintage Port is a field blend aged for approximately 20 months in wood. It comes in with 100 grams of residual sugar. Rich, concentrated and often sensational, this is well structured, even better in its fruit profile. While the fruit is terrific, it is also wonderfully fresh. This is arguably a great Taylor's, but it still needs to prove its final case in the cellar. I don't think that will be a problem. As I said when I first saw it, it effortlessly combines brilliant fruit and structure. It does everything right, and it is a formidable competitor to its Vinha Velha sibling in this report. And at half the price.
The 2011 Taylor’s Vintage 2011 has a multifaceted, Pandora’s Box of a nose that is mercurial in the glass: cassis at first before blackberry and raspberry politely ask it to move aside, followed by wilted rose petals and Dorset plum. Returning after one 45 minutes that nose has shut up shop. The palate is sweet and sensual on the entry, plush and opulent, with copious black cherries, boysenberry and cassis fruit, curiously more reminiscent of Fonseca! It just glides across the palate with a mouth-coating, glycerine-tinged finish that has a wonderful lightness of touch, demonstrating how Vintage Port is so much more accessible in its youth nowadays. But don’t let that fool you into dismissing the seriousness or magnitude of this outstanding Taylor’s. Tasted May 2013.
Taylor’s Vintage a un nez aux multiples facettes, une boîte de Pandore, qui est mercuriel dans le verre : le cassis d’abord avant que la mûre et la framboise ne lui demandent poliment de s’écarter, suivi par des pétales de rose fanés et une prune du Dorset. La bouche est douce et sensuelle à l’entrée, moelleuse et opulente, avec de copieuses cerises noires, mûres de Boysen et de cassis, rappelant curieusement plus Fonseca ! Il glisse simplement sur le palais avec une finale teintée de glycérine qui enrobe la bouche et qui a une merveilleuse légèreté au toucher.
Lors de la dégustation de jeunes portos millésimés, Taylor est toujours le plus arriéré. Pourtant, potentiellement, il a la capacité d’être le plus majestueux. Ce vin de fabrication classique, de couleur pourpre opaque, regorge de fruits noirs (myrtilles et cassis). Il révèle des tanins élevés et un style réservé, mais il est énormément constitué avec un corps massif, un milieu de bouche redoutable et une longueur exceptionnelle. C’est un Taylor jeune, riche et puissant qui nécessitera 10 à 15 ans de vieillissement. Comparé au style plus tape-à-l’œil et avant-gardiste du 1992, le 1994 a plus en commun avec des millésimes tels que 1977 et 1970. Maturité prévue : 2008-2045.
Je
Taylor’s Vintage a un nez aux multiples facettes, une boîte de Pandore, qui est mercuriel dans le verre : le cassis d’abord avant que la mûre et la framboise ne lui demandent poliment de s’écarter, suivi par des pétales de rose fanés et une prune du Dorset. La bouche est douce et sensuelle à l’entrée, moelleuse et opulente, avec de copieuses cerises noires, mûres de Boysen et de cassis, rappelant curieusement plus Fonseca ! Il glisse simplement sur le palais avec une finale teintée de glycérine qui enrobe la bouche et qui a une merveilleuse légèreté au toucher.
Taylor’s Vintage a un nez aux multiples facettes, une boîte de Pandore, qui est mercuriel dans le verre : le cassis d’abord avant que la mûre et la framboise ne lui demandent poliment de s’écarter, suivi par des pétales de rose fanés et une prune du Dorset. La bouche est douce et sensuelle à l’entrée, moelleuse et opulente, avec de copieuses cerises noires, mûres de Boysen et de cassis, rappelant curieusement plus Fonseca ! Il glisse simplement sur le palais avec une finale teintée de glycérine qui enrobe la bouche et qui a une merveilleuse légèreté au toucher.