D’une robe grenat-pourpre profond, le Léoville Barton 2015 offre des notions de groseilles rouges chaudes, de framboises noires et de chocolat noir avec des effluves de boîte à cigares, de violettes et de feuilles de laurier. Elégante, moyennement corsée et d’une grande fraîcheur, la bouche tendue et serrée de fruits rouges intenses et d’accents floraux est bien encadrée avec des tanins fermes et granuleux, se terminant sur une note minérale persistante.
D’une couleur grenat-violet profond, le Leoville Barton 2015 offre des notions de groseilles rouges chaudes, de framboises noires et de chocolat noir avec des effluves de boîte à cigares, de violettes et de feuilles de laurier. Elégante, moyennement corsée et d’une grande fraîcheur, la bouche tendue et serrée de fruits rouges intenses et d’accents floraux est bien encadrée avec des tanins fermes et granuleux, se terminant sur une note minérale persistante.
Le Leoville Barton 2014 est l’un des incontournables du millésime. Maintenant en bouteille, il a un bouquet très pur qui gagne en intensité dans le verre, chargé de senteurs de coulis de mûre et de framboise, de pierre humide froide, d’une merveilleuse minéralité qui devient plus évidente à l’aération. La bouche est moyennement corsée avec des tanins tendus, une fine ligne d’acidité qui lui confère cette précision et cette nervosité. Il y a de la classe et de la sophistication in situ, pas un puissant Léoville Barton, mais magnifiquement posé. Ce n’est qu’un brillant précurseur du 2015 et il devrait représenter une grande valeur.
D’un rubis et d’un pourpre denses, avec des notes de réglisse de cassis et de sous-bois dans les arômes, le Léoville-Barton 2012 est un style de vin relativement grand, riche et masculin. Ce vin corsé a besoin de 5 à 8 ans de garde et devrait évoluer facilement pendant 25 à 30 ans.
Le Léoville Barton 2010 est d’une couleur grenat profond, et le nez est un peu fatigué, avec des notes de prunes compotées et de cerises séchées sur des notes de balsamique, de tabac, de boîte à épices et d’herbes frites. La bouche moyennement corsée à corsée a une solide colonne vertébrale de tanins fermes et moelleux et beaucoup de fraîcheur soutenant le fruit mûr, terminant épicé.
De couleur grenat moyen à foncé, le Leoville Barton 2009 abandonne des parfums expressifs de cordial de cerise, de cassis chaud et de tarte aux mûres avec des nuances de menthol, de boîte à cigares et de feuilles mortes. Mi-corsé et élégamment joué avec beaucoup de fraîcheur et des tanins souples, il a une finale longue et parfumée.
Sans surprise, ce vin est fermé, masculin, mais super riche, avec un style plus dense, plus complet et plus corsé que son frère, le Langoa Barton. Un peu de vanilline grillée est apparente dans les arômes de cassis entremêlés de feuilles de tabac, de cèdre et de boîte à épices. Le vin est corsé et possède une tonne de tanins, ce qui n’est pas inhabituel pour ce domaine, ainsi qu’une finale d’une pureté et d’une longueur impressionnantes. Tout est là, sauf ce vin, élaboré avec une vision sans compromis.
Le Léoville Barton’s 2005 a une couleur rubis/pourpre d’encre et présente des niveaux de tanins assez élevés, mais l’équilibre est légèrement meilleur que le Langoa Barton, qui est très dur. Il s’agit probablement d’un vin de 30 ans et il a besoin d’au moins 20 ans de garde, et bien que les tanins soient élevés, ils sont équilibrés de manière plus approfondie et plus compétente. Avec du cassis profond et des fruits de groseille rouge, le vin est terreux, épicé, moyennement corsé à corsé et a besoin d’au moins une autre décennie.
Succès spectaculaire, le Leoville Barton 2003, de couleur prune opaque, est encore jeune de son plateau de maturité. Il présente un bouquet saisissant de sous-bois et de cassis ainsi qu’un style corsé, exubérant et jeune, une couleur prune / rubis opaque, beaucoup de complexité et une profondeur et une richesse saisissantes. Il s’agit d’un effort profond et étonnant de la part d’Anthony Barton et de son équipe. Bravo! Il devrait continuer à procurer un immense plaisir pendant 20 à 30 ans.
Il s’agit d’un mastodonte – dense, très extrait, très tannique, maussade à l’envers, avec une couleur pourpre dense et très peu d’évolution depuis sa mise en bouteille il y a 8 ans. Des notes merveilleusement sucrées de cèdre et de gâteau aux fruits sont mêlées à des notes de crème de cassis, de réglisse et de sol forestier terreux. Il est corsé et tannique, avec tout en place, mais comme tant de vins qui viennent de Léoville Barton, il se moque de nombreux consommateurs modernes qui veulent un vin pour une gratification immédiate. Ceux qui l’ont acheté devraient continuer à faire preuve de patience et être fiers de posséder un merveilleux classique avec cinq décennies de longévité devant lui.
Le Leoville Barton 1996 semble plus jeune que le Langoa Barton 1996 dans le verre avec un noyau grenat profond et sain. Les arômes se déploient gracieusement dans le verre, révélant des parfums de bruyère, de haie sauvage, de truffe noire et de bois de santal, fermement au stade aromatique secondaire, mais avec une présence et une intensité appréciables. La bouche est moyennement corsée avec des tanins adhérents qui forment sa structure ferme et classique, des épices, du poivre blanc et des clous de girofle infusant le fruit des baies rouges légèrement animales. Il s’agit d’un adorable Léoville Barton qui occupe une place très « heureuse » en ce moment - superbe précision, bordeaux à l’ancienne à son meilleur. Ne décantez pas plus d’une heure, puis dégustez.
Croyez-le ou non, le Leoville Barton 1990 peut réellement être bu - ce qui n’est pas le cas du 1982 sombrement arriéré et encore atrocement tannique. Le 1990 exceptionnellement concentré révèle des tanins plus polis et plus doux ainsi qu’un gros baiser doux de cassis, de sol forestier, de cèdre et de notes d’épices. Bien qu’il ait encore quelques tanins à perdre, ce vin corsé, puissant et long est accessible. Il devrait continuer à évoluer pendant encore deux décennies.